J'introduis le cours par une question qui se pose souvent : D'où vient l'inspiration ?

Elle vient d'absolument tout (sans exception). En effet, beaucoup d'idées, chaque jour, passent devant nous sans que nous les appercevions car elles ne nous frappent pas, elles paraissent trop "simples". En réalité, même si elles le sont, on peut écrire quelque chose de merveilleux avec ces idées rassemblées. Prenons l'exemple de JK Rowling qui s'est inspirée de l'histoire de "Cendrillon" pour écrire "Harry Potter". La jeune fille ayant perdu ses parents, ne lui restant qu'une belle-mère et deux soeurs détestables. Harry Potter ayant perdu ses parents également, vivant avec son oncle et sa tante en compagnie de son cousin, tous trois rendant la vie d'Harry insupportable. Vous voyez comme c'est ressemblant ?
Rowling introduit également le sport (le Quidditch), se pratiquant sur des balais (les sorciers ont des balais, c'est bien connu. Il faut donc en faire exister dans "Harry Potter") avec plusieurs balles. L'auteur s'est aussi inspirée d'une école, avec des professeurs adorables, d'autres détestables et certains pitoyables.
Allez donc chercher chez les autres : Leurs manies, leurs défauts, leurs phrases ou expressions favorites, leur dernière blague, leurs problèmes, etc... En fait, vous pouvez piocher un peu partout dans ce que vous pouvez observer au quotidien. Pour terminer la recette, mixez le tout.
Il est également utile d'écrire en écoutant de la musique qui vous inspire. Si vous n'avez aucune idée, penchez sur la musique classique. Il n'y a aucune parole, ce qui fait qu'elle ne peut vous déconcentrer et arrive même à vous détendre.

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Par quelles autre questions poursuivons-nous ?

Merci pour ce cours. Je retiens un avis agréable, l'avis de voir la vie en face, de l'observer et de dicter sur sa feuille ce que l'on peut voir. La vie est notre entourage principal, on doit l'observer pour le décrire, et pour le décrire on doit l'écrire. Moi-même je prends souvent des phrases de paroles de chansons pour en faire un titre, ou un statut sur Facebook.

ça me fait penser à quelque chose : quand je suis dans un avion, dans un train ou encore dans un bus (et oui, à Genève, y a pas de métro ^^) je m'amuse à observer les gens qui m'entourent, j'essaye de comprendre se qu'ils ressentent, leurs histoires.

Merci pour ce premier cours (que je m'appliquai déjà mais sans m'en rendre vraiment compte!)

Comment décrire un lieu ?

Alors, voilà un petit extrait de Comment décrire les lieux sur super-daddy.com
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Supposez que vous entrez dans une forêt en venant d'une région chaude et ensoleillée... Qu'est-ce qui vous frappe en premier? Quelles sont les premières impressions?

Ce que vous sentez: après la chaleur, fraîcheur, calme, douceur de la lumière...

Ce que vous entendez: les chants des oiseaux après le bruit des voitures ou les crissements des cigales...

Ce que vous voyez : les arbres dressés autour de vous, comme les piliers d'une cathédrale...

Ce qui ne se révèle qu'après un grand moment de silence et d'observation: toutes les bêtes et bestioles qui y vivent et qui se tapissent sous les feuilles mortes, dans les arbres ou derrières les buissons ; insectes, petits mammifères, écureuils...

Donc vous pénétrez dans cette forêt, et progressivement, les "acteurs" de la scène s'imposent à vous et produisent sur vous un effet, une sensation, une impression...

C'est ainsi que vous produirez une description efficace et qui touchera le lecteur...

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Dès qu'on entre dans cette pièce, on ressent une sensation... Laquelle?

Surprise, émerveillement, tristesse, peur, ennui, impression pénible... ou au contraire impression d'être presque comme chez soi...

Causée par quoi?

Étrangeté des dimensions (hauteur, largeur, longueur...), richesse des meubles (leur style dimension et matière), du décor et de l'éclairage (lustres, nombreux bougeoirs...), ou manque de lumière, recoins sombres, entassement hétéroclite d'objets... ou sobriété du décor, confort de l'ameublement...

Entrer dans les détails : Dire quel est ce qui a plus particulièrement causé l'impression première... ou ce qui la fait changer...

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Il serait peut-être utile d'accompagner cela par quelques exemples provenant de romans...


La mobylette s'est engagée dans le petit chemin de terre, bordé de sacs plastique et de détritus. Mis à part le bruit du moteur, tout était silencieux. Chacun était à son poste, bien caché derrière des tas de sciure ou de vieux bidons métalliques.

Le Jobard. Michel Piquemal. (Milan Zanzibar)



La cour ressemble à un vrai musée d'art moderne. Partout, vous voyez des statues aux positions invraisemblables : Catastrophe a la bouche ouverte, le caillou de la marelle d'un groupe de filles est resté en l'air.
Tu te promènes en admirant et en touchant. On n'entend plus aucun bruit, aucune odeur ne parvient jusqu'à tes narines.
Sous un acacia, une grande fille est immobile, cinquante centimètres au-dessus de son élastique fluo.
Tu t'approches de Paul en train d'observer un gros bourdon noir arrêté juste devant son nez.

Le Mystère des Pierrots - Ecoles de Nézignan l'Evêque et d'Abeilhan - La Domitienne



Mr Wonka conduisit le groupe à une gigantesque machine qui se dressait au centre même de la salle des inventions. Une montagne de luisant métal dominait de très haut les enfants et leurs parents. Tout en haut, elle portait quelques centaines de fins tubes de verre, et tous ces tubes étaient courbés vers le bas, formant un bouquet suspendu au-dessus d'un énorme récipient, aussi grand qu'une baignoire.

"Et voilà !" cria Mr Wonka, puis il pressa sur trois différents boutons qui faisaient partie de la machine. Au bout d'une seconde, on entendit un effroyable grondement. Toute la machine était secouée de façon inquiétante, dégageant de la fumée de toutes parts, et soudain, les spectateurs virent couler du liquide dans tous les petits tubes de verre, en direction de la grande cuve. Et dans chacun des petits tubes, le liquide était d'une couleur différente, si bien que toutes les couleurs de l'arc-en-ciel (et bien d'autres encore) se rencontraient dans un formidable éclaboussement. C'était un très joli spectacle. Et lorsque la cuve fut presque pleine, Mr Wonka appuya sur un autre bouton et, aussitôt, le liquide cessa de couler à l'intérieur des tubes, le grondement se tut pour faire place à un mélange de bourdonnements et de sifflements, puis un tourniquet géant se mit à virevolter dans l'énorme cuve, frappant les liquides multicolores. Petit à petit, le mélange se mit à mousser. La mousse se fit de plus en plus abondante, virant du bleu au blanc, du vert au brun, puis du jaune au noir pour redevenir bleue à la fin.

"Attention !" dit Mr Wonka.

Il y eut un déclic et le tourniquet s'arrêta. Alors on entendit une sorte de bruit de succion, et, très rapidement, tout le mélange bleu et mousseux de la grande cuve fut aspiré jusque dans le ventre de la machine. Après un bref silence, il y eut quelques grondements bizarres. Puis ce fut encore le silence. Et soudain la machine poussa une plainte monstrueuse et au même instant, un minuscule tiroir sortit du flanc de la machine, et dans ce tiroir, quelque chose de si petit, de si plat, de si gris que tout le monde crut à une erreur. On aurait dit un petit bout de carton gris.

Charlie et la chocolaterie - Roald Dahl - Gallimard Folio Junior





Ma ballade me menait toujours jusqu'au terrain vague. Là, il n'y avait plus une seule lumière. Quelqu'un avait déquillé les ampoules des lampadaires publics. Sans doute le jobard qui n'avait pas de volets aux fenêtres, et que tout cet éclairage devait gêner pour dormir. C'était la vraie nuit. Celle qu'on ne voit jamais lorsqu'on habite en ville. Celle qui fait peur et rassure à la fois.

Le Jobard. Michel Piquemal. (Milan Zanzibar)





Un des Pierrots s'avance et dit : " Ne vous inquiétez pas, nous allons tout vous expliquer. Puis il se tire le lobe de l'oreille et vous apparaissez dans une salle fortement éclairée.
Peu à peu, vous vous habituez à cette lumière et vous découvrez un spectacle extraordinaire. Un silence surnaturel vous inonde. Vous pourriez entendre une mouche voler ; mais des mouches, il n'y en a pas !
La pièce est étincelante de propreté, on dirait que Mr Propre nettoie tout du sol au plafond, matin, midi et soir !
On trouve sur de grandes étagères des montagnes de livres concernant le cerveau humain. Maths remarque un répondeur ; c'est peut-être le répondeur qui a essayé de vous faire peur.
Une énorme machine triangulaire intrigue Bout de Chou. Elle est reliée par des tuyaux à des bocaux remplis de produits chimiques colorés. A l'intérieur, au-dessus d'un fauteuil pend une ventouse en caoutchouc.
Au fond de la salle, plusieurs ordinateurs allumés semblent travailler, une imprimante attend un ordre pour fonctionner.
Au-dessus, des posters montrent des représentations du cerveau en coupe.
Un des Pierrots s'assied sur une chaise à une longue table, aussitôt imité par les autres Pierrots. Vous supposez qu'il faut vous asseoir.

Le Mystère des Pierrots - Ecoles de Nézignan l'Evêque et d'Abeilhan - La Domitienne





Tout en sirotant mon vin doux, je jetai un coup d'oeil à la cuisine du vieil homme. Sûr que le ménage n'avait pas été fait depuis un bon bout de temps ! Il y avait des trucs qui traînaient un peu partout : de la vaisselle ébréchée, des drôles d'outils, des journaux déchirés, un moteur de mobylette, de vieux stylos... et sur tous les meubles, une épaisse couche de crasse. Mais ce qui m'étonna le plus, c'est qu'il n'y avait ni télévision ni radio. C'était la première fois que je voyais une maison sans télé.

Le Jobard. Michel Piquemal. (Milan Zanzibar)





Charlie Bucket promena ses regards sur la salle gigantesque. On eût dit une cuisine de sorcière ! Dans tous les coins, il y avait des marmites en métal noir, fumant et bouillonnant sur de grands fourneaux, des bouilloires sifflantes et des poêles à frire ronronnantes, d'étranges machines de fer qui crachotaient et cliquetaient, et des tuyaux qui couraient le long du plafond et des murs, le tout enveloppé de fumée, de vapeurs, de riches et délicieux parfums.

Charlie et la chocolaterie. Roald Dahl. (Gallimard Folio Junior)

Bon, je sais que je vais te blesser même si c'est des cours mais je tiens à te le faire savoir! (:
Je n'ai pas tout compris d'une, car ça ne vient pas de toi. Je pense que quelques modifications personnelles m'auraient plus convenues! J'admire tes talents en écriture, et j'aimerai m'en imprégner. Je ne vais pas te demander de refaire le texte ni autre chose, je le laisse pour Léna qui sera moins difficile que moi, mais quand tu vois des mots pas inconnus mais que tu ne sais pas placer dans ton récit, c'est dur d'en écrire un. Je te dis juste ça par prévention, mais je te remercie tout de même pour ce cours! Et tu sais que je ne dis pas ça méchamment, je dis ça pour te dire mes conseils et pour te faire parvenir ma difficulté à comprendre (non non, je ne suis pas bête :p ) (:

Je suis d'accord avec Exotic, se serra bien tu pouvais les faire toi, les cours. Mais je comprends tout à fait que tu n'aie pas le temps (avec tout ces examens ^^)

--> Exotic : C'est vrai je suis très indulgente, c'est ma nature. Je trouve que la plus part des choses sont bien et je ne dis presque jamais rien mal sur le travail des personnes (bien sûr ça arrive, mais c'est très rare). Par contre, pour moi, je dois faire le mieux possible, sinon je me trouve nul ^^

--> Alex : tout ce que je viens de dire à Exotic ne concerne pas

Merci d'être de mon avis, je me sens soutenue! q:
Alexandra, je comprends ton choix, et ce manque de temps. Tu n'es pas obligée de faire des cours bien détaillés etc, juste quelques explications peuvent suffirent, le temps d'avoir un moment pour écrire un cours plus "satisfaisant".

Alors voilà ma manière de décrire un lieu ;

Dans n'importe quel écrit (sauf rares exceptions), le lieu est l'une des bases pour plonger le lecteur dans ce que vous écrivez. Il faut le choisir selon le caractère de votre/vos personnage(s). Par exemple, pour décrire la chambre de l'un, utilisez sa manière de s'exprimer :

Sur la porte à moitié défoncée du jeune garçon étaient collées plusieurs grossières étiquettes dont la majorité terminaient leur "Do not enter" par un grossier signe de la main. On devinait que ces derniers avaient été rageusement grattés, probablement par les parents, mais d'autres plus grands encore, par provocation, furent collés de part et d'autres de la vieille porte en bois.

On voit clairement que le personnage n'a pas un simple caractère et possède peu de respect, aussi on redoute ce que l'on peut trouver à l'intérieur de la chambre. Justement, entrons-y donc :

Une fois à l'intérieur de la pièce, on pouvait se demander si, comme on l'avait cru, c'était un véritable être humain qui y passait ses nuits. La chambre pestilentielle sentait un mélange de chien mouillé et de quelque nourriture périmée. Par terre étaient étalés des dizaines de magazines de jeux vidéos, la plupart jaunis d'humidité ou d'autre chose laissant libre cours à notre imagination. Les rideaux à moitié brûlés étaient fermés, comme si l'occupant craignait un éventuel discernement de sa chambre crasseuse. Le lit délabré tenait sur deux pieds, les deux autres pieds restant traînant dans le fouillis, n'ayant pas été jetés. Peut-être le jeune homme pensait-il en avoir besoin pour la fabrication de nouvelles figurines en bois semblables à celles qui traînaient sur le bureau ?

Si le lieu n'est pas le principal de votre roman mais ne garde vos personnages que pour quelques lignes, ne perdez pas beaucoup de temps à le décrire. Si vous avez des difficultés, décrivez-le précisément pour ensuite reprendre les descriptions les plus essentielles et en faire un résumé.

Mais voilà, la question qui se pose est : Comment décrire un lieu ?
Commencez par regarder autour de vous. Prenez le temps d'observer, d'écouter, de sentir. Dans quelle pièce êtes-vous? A qui pourrait-elle appartenir, vu son apparence? Quelle odeur dégage-t-elle? Est-elle nauséabonde ou est-ce l'odeur douce et agréable du parfum de "Quelqu'un"? Qu'est-ce qui vous frappe en premier? Quels sons percevez-vous? Sont-ils ceux du robinet qui fuit ou de l'hamster dans sa cage?

N'hésitez pas à comparer certaines choses avec certains personnages. Par exemple :

Le cadre à moitié caché par un vase vide encadrait un dessin exprimant parfaitement la créativité de Laly. La jeune fille, comme Lila la connaissait, y avait dessiné des courbes à première vue abstraites qui représentaient en réalité une oie et son oison. Le dessin montrait également la passion de Laly pour les animaux.

Inspirez-vous de ce que vous voyez autour de vous. N'hésitez pas à détailler, à lire et à relire votre description jusqu'à ce que vous arriviez à vous plonger parfaitement dans le cadre. Besoin d'autres précisions ?

Merci! J'aime le cours cette fois-ci! :p

Oui, il est bien mieux que l'autre ! Merci !

J'en apprends beaucoup, merci Alex.
J'ai eu une soudaine idée, pourquoi ne pas faire un emploi du temps de nos cours?! (:

Avec les dates ? Ou simplement l'ordre des cours ?

Je t'ai fais part de cette idée dans une autre par MP, j'espère qu'elle te convient!

Pour moi, je trouve ce cours génial. Il m'a apporté des informations dont je ne connaissais pas la réponse, avant d'écrire, je bloque et je me dis "Non, il faut que j'emploie des mots d'un autre monde etc...", alors que là, dans ce cour, tu montres que je ne dois plus bloquer, et tu me fais une sorte de thérapie! Merci beaucoup pour ce cours en tout cas! C'est très complet, donc pour ma part je pense qu'on peut essayer de passer à autre chose, mais attendons l'avis de Lena, si elle a des difficultés, il fut d'abord l'aider pour passer à autre chose!

Je suis heureuse qu'il t'ait aidée Il faut laisse aller son crayon ou ses doigts sur le clavier librement sans bloquer. Même si tu te dis que quelque chose ne va pas, termine d'abord ce que tu voulais écrire et vois ce qui cloche dans ce que tu écris. Ca, tu pourras toujours l'arranger après, mais il ne faut pas arrêter une imagination en ébullition ^^ Et puis, comme je l'ai dis dans le cours, reste à savoir si ce que tu veux écrire pour remplacer ce que tu as écris correspond à l'image que tu veux réellement donner et si cela TE correspond.
Ce n'est peut-être pas aussi complet que je le voulais, mais du moment que vous comprenez ce que je voulais faire passer ^^

Je trouve que pour le moment, c'est meilleur de tes cours, il explique "tout". J'adore ta façon d'expliquer "qui me met à nette". (c'est un peu bizar comme je le dis mais c'est comme ça que je le pense !)
En ce moment, je n'arrive pas à me mettre à l'écriture, je vais laisser passer, et j'espère pouvoir écrire pendant les vacances ! (c'est le moment où j'ai le plus d'inspiration !)

On peut donc passer à autre chose, désolée d'avoir mis du temps à répondre!
Prends bien ton temps pour faire tes cours Alex, en espérant que tu sois toujours aussi présente ces derniers-temps!

Désolée pour la lonnnnnnnngue période durant laquelle je n'ai plus posté dans ce sujet. Mais me revoilà.

Cette fois-ci, je vais parler de la fin. La fin de votre nouvelle ou de votre roman, tout aussi importante dans n'importe quel type d'écrit. Commençons par la définir : qu'est-ce que la fin ?
La fin d'une histoire est semblable à une corde à plusieurs noeuds que les réponses à nos questions dénoueront tout au long de l'histoire. La fin est le dernier noeud à défaire, mais aussi le court prolongement de la corde, soit pour faire naître l'envie de lire la suite si vous comptez en écrire une, soit pour terminer en beauté la fantaisie de votre récit.

Comment terminer en beauté ?
A nouveau, seule votre opinion et vos idées comptent ici. Mais la meilleure fin serait sans doute celle qui procure soulagement et contentement. A cette partie de l'histoire, le lecteur aura toutes les réponses à ses questions, mais vous devez faire en sorte qu'il laisse travailler son imagination en fonction de vos dernières phrases (pas trop non plus! Dans ce cas il se sentira plus perdu et frustré qu'autre chose...). Prenons l'exemple d'un couple qui, tout au long de votre récit, a subit douleur, torture, s'est rapproché et s'est séparé. Dans ce cas, comme toute fin, vous pouvez introduire un "X années plus tard" où le couple a dix beaux enfants intelligents, ou simplement une belle conclusion comme une balade au bord de la mer où les bien-heureux s'échangent un énième baiser. (J'espère que vous trouverez mieux comme fin).
Vous pouvez aussi trouver une fin à laquelle le lecteur ne s'attend pas (sans pour autant le décevoir). Pour ça, pêchez des situations auxquels vous-même ne vous attendrez pas du tout si vous étiez le lecteur.

A suivre...

Un double-post, juste pour vous demander si les cours vous sont toujours utiles et si ça vaut la peine de continuer ? Ou n'en avez-vous plus besoin ?