"Surprise envers les arabesques tracées
Qui un livre ont formé,
Admirative envers la plume qui les mania
Et prostrée devant l'esprit qui les commanda
Je demeure immobile, émue
Devant ce conte de la Rue.
Ce n'était pas un échappatoire
Mais le reflet du Miroir
Des réalités de la vie:
L'importance de la folie
L'acharnement de l'inspecteur
Pour condamner un homme de cœur
L'enfant abandonné, la mère exploitée
Qu vendit son corps, son cœur et son esprit
Et sombra dans la mort et dans la mélancolie
L'amour de deux jeunes gens
Un grand-père finalement indulgent...
C'était un récit poignant
Le temps de plusieurs années
Le temps d'un moment
C'était un de ces livres qui nous font pleurer
Qui nous choquent et nous font trembler,
Qui nous font vibrer d'Injustice,
Cause de tous ces vices...
Surprise envers les arabesques tracées
Qui un livre ont formé,
Admirative envers la plume qui les mania
Et prostrée l'esprit qui les commanda,
De mes lèvres s'échappe un mot
Adressé à ce si grand poète nommé Victor Hugo.
De mes lèvres s'échappe un mot
Qui tourbillonne autour de Lui.
Merci..."