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 Les langues bleues (fantasy ou fantastique)

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MessageSujet: Les langues bleues (fantasy ou fantastique)   Les langues bleues (fantasy ou fantastique) EmptySam 1 Mai 2010 - 8:36

Sous un temps radieux, Eléna, baptiste et Célia marchaient tranquillement. Le soleil dardait ses rayons sur l’ensemble de la cour de récréation. Ils profitaient de ces instants chaleureux pour se distraire un peu. La température élevée annonçait – enfin – le début de l’été. La fin des cours approchait. Tous aimaient cette libération qui, comme tous les ans était tant attendue. Cette année se terminera demain par un beau jour ensoleillé ; un vendredi vingt-huit juin. Célia ne pourra pas oublier une telle date : celle de l’anniversaire de la mort de sa grand-mère. Dix ans jours pour jours qu'elle a décédée d'un accident de voiture. Les élèves s’empresseraient de quitter les lieux à grandes enjambées, les professeurs soupireraient de tous leurs poumons et les femmes de ménages exprimeraient une joie intense. Le bâtiment deviendrait alors déserté pendant deux mois et ne réouvrirait que dans les premiers jours de septembre. C’est ainsi que commenceraient des vacances méritées, ou pas. Pour ceux qui n’auraient pas assez travaillés, leurs parents les inscriraient pour la plupart à des cours particuliers. Ceux qui auraient mis toutes leurs peines sur leurs devoirs, ils se réjouiraient de s’amuser entre amis. Mais dans tous las cas, les vacances seront des moments de bonheur et de délivrance. Durant les derniers jours des grandes vacances, les élèves s’ennuieraient. Ils attendraient impatiemment la rentrée afin de retrouver leurs meilleurs amis. Ils seront alors entraînés une nouvelle fois dans un cycle infernal qui ne ferait que recommencer.
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MessageSujet: Re: Les langues bleues (fantasy ou fantastique)   Les langues bleues (fantasy ou fantastique) EmptyVen 7 Mai 2010 - 19:46

Le premier chapitre (besoin de vos commentaires ...) :

Sous un temps radieux, Eléna, baptiste et Célia marchaient tranquillement. Le soleil dardait ses rayons sur l’ensemble de la cour de récréation. Ils profitaient de ces instants chaleureux pour se distraire un peu. La température élevée annonçait – enfin – le début de l’été. La fin des cours approchait. Tous aimaient cette libération qui, comme tous les ans était tant attendue. Cette année se terminera demain par un beau jour ensoleillé ; un vendredi vingt-huit juin. Je ne peux pas oublier une telle date : celle de l’anniversaire de la mort de ma grand-mère, cela fera dix ans. Les élèves s’empresseraient de quitter les lieux à grandes enjambées, les professeurs soupireraient de tous leurs poumons et les femmes de ménages exprimeraient une joie intense. Le bâtiment deviendrait alors déserté pendant deux mois et ne réouvrirait que dans les premiers jours de septembre. C’est ainsi que commenceraient des vacances méritées, ou pas. Pour ceux qui n’auraient pas assez travaillés, leurs parents les inscriraient pour la plupart à des cours particuliers. Ceux qui auraient mis toutes leurs peines sur leurs devoirs, ils se réjouiraient de s’amuser entre amis. Mais dans tous las cas, les vacances seront des moments de bonheur et de délivrance. Durant les derniers jours des grandes vacances, les élèves s’ennuieraient. Ils attendraient impatiemment la rentrée afin de retrouver leurs meilleurs amis. Ils seront alors entraînés une nouvelle fois dans un cycle infernal qui ne ferait que recommencer.

Le deuxième cours de la matinée se termina au son de la sonnerie.
-Vous me ferez l’exercice trente-trois page cinquante et un pour demain. Bonne journée dit la professeur de mathématiques avec un large sourire.
Célia paniquait, son portable vibrait. Elle attendit d’être dans les toilettes pour décrocher.
- Allo Célia, c’est Virginie. Je t’appelle pour savoir si c’est toi qui avait pris mon livre de chimie, hier soir lorsque tu es venue.
- Tu es sûre d’avoir cherché partout ? Il se passe des choses bizarres avec les manuels en ce moment, dans notre classe treize ont été perdus dans l’espace d’une semaine.
- En attendant je n’en ai pas pour cet après-midi, je me demandai si tu pouvais me prêter le tien et je te le rendrais après ?
- Oui bien sûr, je te la passe ce midi, on se retrouve devant mon casier.
- Merci. Bye, à tout à l’heure.
Virginie commençait les cours seulement à onze heures le jeudi. Célia sortit et rejoignit Baptiste et Elena qui marchaient lentement vers un banc.
Ils tournaient en rond, ne sachant que faire. Ils parlaient de tout et de rien. La conversation en elle-même ne ressemblait en rien à une vraie discussion :
- Vous avez vu la nouvelle publicité pour les petits gâteaux nappés de chocolat, avec le ballon qui tombe sur le biscuit ? Demanda Baptiste. Celui-ci se casse en morceaux et se reconstitue tout seul, ajouta-t-il.
- Oui, elle n’est pas terrible soupira Eléna.
Un long silence s’installa. Seuls quelques bruissements de feuilles et quelques bavardages des autres collégiens, autour d’eux, donnaient un peu d’ambiance à leurs oreilles. Pour changer de direction, Célia indiqua le fond de la cour et ils partirent vers un espace déserté.
- Il paraît que notre professeur d’anglais a pris une deuxième heure sur notre emploi du temps pour son contrôle. Il doit être vachement dur lança Célia.
Elle n’eut pas de réponse, ce qui la vexa. Elle aimait lorsqu’il y avait de l’ambiance, les jours de fêtes ou bien les soirées dansantes. Ce qu’elle détestait par-dessus tout c’est le silence.

Ils s’asseyaient sur un banc en pierre grisâtre dans un soupir de soulagement. Eléna revassait, Baptiste lui, regardait les filles jouer au ping-pong et Célia s’ennuyait.
Habituellement, ils parlaient énormément. Ils s’échangeaient en permanence. Lorsqu’ils ne trouvaient rien à dire, ils jouaient à des jeux drôles ou s’amusaient avec d’autres personnes. Les vacances débuteront demain soir, peut être étaient-ils fatigués ? Ce n’était pas une raison valable pour laisser seule Célia, à s’ennuyer. Même s’ils avaient du tout se dire, il y a sûrement d’autres choses à dire ou à redire.

L’endroit s’assombrissait soudainement. Une présence se faisait ressentir. Célia avait une nette impression d’être observée.
- Qui est là ? demanda t-elle affolée.
Bien évidemment - elle s’était attendue à cette réaction – personne ne répondit. Quelqu’un ombrait une petite surface au sol mais Célia n’arrivait pas à distinguer sa provenance. Elle balaya, à maintes reprises, les alentours, sans succès. Eléna ricana, pensant que Célia était devenue folle. Baptiste soupira et réintégra des yeux, la partie de tennis de table, alléchante, qu’offraient des filles de troisième.
- Qui est là ? Répéta t-il soudainement, deux minutes plus tard.
Le fait qu’il ait lui aussi ressentit cette présence, rassura Célia dans un premier temps. Puis, elle se crispa de ne pas savoir ce qu’il se passait. Elle commençait à se faire des frayeurs et imaginer le pire. Qui se cachait derrière cette ombre ? Célia devint moins sûre d’elle et moins confiante que d’habitude. Pourtant elle en était persuadée, quelqu’un les observait. Ce n’était que quelques minutes plus tard lorsque la sonnerie retentissait que l’ombre disparut. Eléna venait de percuter un jeune homme aux cheveux bruns. Il rebiquait élégamment une petite mèche rebelle. Il souriait. Son regard était limitatif, il fixait Eléna de ses beaux yeux, couleur amande. Son clin d’œil rendit Célia jalouse, il était destiné à sa meilleure amie. Pas un instant, il détourna son regard. Célia se sentit délaissée. Ce doux moments de regards entre eux – qui sembla long pour Célia – fut interrompit par un surveillant qui les pressa d’aller dans leurs rangs respectifs sous peine d’une punition.
- On s’reverra une prochaine fois lança t-il à l’intention d’Eléna
Ces derniers mots entrèrent dans Célia comme un acte de guerre. Célia et Eléna étaient les meilleures amies du monde ce qui ne les empêchaient pas de se battre lorsqu’il s’agissait d’une histoire concernant un beau garçon.

Son apparition resta dans la mémoire de Célia, toute la journée. Il lui était apparut d’une manière surprenante, pour impressionner une fille il faut sortir de l’ordinaire selon elle, c’est exactement ce qu’il a fait. Célia n’avait qu’une envie, le revoir. Le si peu qu’elle l’avait vu, il lui était apparut sympa. L’envie grimpait en elle de le connaître un peu plus. « Qu’il est beau » pensa t-elle. Les cours de la fin de matinée s’enchaînèrent sans qu’elle ne puisse l’apercevoir pendant l’intercours. Même s’il était nouveau et totalement inconnu, Célia l’aimait déjà et l’avait gardé dans son cœur. Elle était un brin énervée contre Eléna, c’était elle qu’il avait choisit et ce serait difficile de le faire changer d’avis.

Les casiers c’est l’endroit le moins fréquenté pourtant il peut servir. La voisine du dessus cadenasse son casier et libère la place. Virginie rejoigna Célia à moitié effondrée et bouleversée. Elle pleurait sans relâche.
- Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Célia en la prenant de ses bras.
Célia avait ouvert son casier et ne s’en était soucier. Virginie arrêta momentanément de sangloter et balbutia avec peine :
- Ma mère va m’achever, j’ai perdu cinq manuels.
- Oh non c’est pas vrai. Il se passe des choses vraiment pas normales en ce moment. Que te manques t-il pour cet après-midi.
- Celui de sciences, de français et celui de chimie.
- Tiens prend les miens, je n’ai aucun de ces cours aujourd’hui. Mais je ne pourrais pas te les prêter demain car ce sera le dernier jour et il me faudra les rendre.
Il y eut un long moment de silence. Virginie sanglotait encore et ne pouvait plus s’arrêter. Pour la consoler Célia lui dit des mots doux et la caresse. Ce moment de tendresse la réconforta légèrement. L’idée de devoir repayer ses manuels perdus lui a fendit le cœur.
- Je dois te laisser, j’ai déjà mangé et il faut que j’aille en art plastique. Bonne journée. Célia referma son casier. Virginie lui fit un signe de la main. Célia monta avec un petit groupe précédé par le professeur. La montée des marches se fit en silence.

Le projet de Célia s’était une sculpture de terre glaise représentant un lion. D’ailleurs ses anciens dessins représentent eux aussi des lions. Elle a une fascination pour cet animal. Le professeur, criait rarement mais lorsqu’il manifestait sa colère c’était pas pour rien :
- Où sont passées mes ramettes de feuilles ? Il y en avait une dizaine. Qui a fait ça ? Traitres, voleurs, qu’ils se dénoncent …
L’ambiance plombée par ses propos, resta la même jusqu’à la fin. Les élèves étaient dans l’incompréhension, ils n’avaient jamais pensés que un des leurs pourrait faire une chose pareille. Célia se posait de multiples questions.

Durant la récréation de l’après-midi on discuta de l’adolescent apparut le matin :
- Qu’il est beau ! s’exclama Eléna
Elle venait de manger les mots de Célia, elle s’apprêtait à dire exactement la même chose. Même si elles étaient fâchées, elles se parlaient, cela leurs semblaient naturel.
- Peut-on changer de sujet ? demanda Baptiste
A peine avait-il demandé cette faveur que le sujet fut relancé :
- Surtout ses yeux, ils sont d’une beauté inégalée enrichissait Célia.
Une tension séparait Eléna de Célia, un obstacle infranchissable. De temps à autres, Célia jetait des regards un peu partout, sans grand espoir. Il ne se manifesta pas non plus lors des intercours. C’était seulement, le soir, sur le chemin qui menait à sa maison qu’il réapparut furtivement. Je lui adressa un « au revoir » qu’il me rendit. Sa réponse venait d’égayer mon cœur. J’étais toute émoustillée. Cette brève rencontre m’avait redonner la pêche.
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MessageSujet: Re: Les langues bleues (fantasy ou fantastique)   Les langues bleues (fantasy ou fantastique) EmptyMar 1 Juin 2010 - 18:35

Début du chapitre n°2 :

Un moteur de voiture arracha Célia de son sommeil, son père s'en allait travailler comme tous les matins. Il tenait une micro-entreprise travaillant dans la réparation des ordinateurs. Parfois il en réparait mais son possesseur n'en voulait plus car il était trop vieux alors il le gardait. Grâce à son travail, Célia à bénéficier d'un ordinateur portable qu'elle désirait tant depuis très longtemps. Elle se leva lentement puis s'étira. La nuit avait été courte. Contre sa volonté, elle a pensée à lui, à ce beau garçon, jusqu'à ce qu'elle s'endorme tard dans la soirée, aux alentours de trois heures. Il exerçait un pouvoir sur elle, elle était absorbée par son charme. Elle ouvrit les volets sans faire de bruit et quitta sa chambre sur la pointe des pieds, il n'était que six heures. Ses paupières clignèrent à plusieurs reprises avant de rester éveillées. Elle avait du être toute remuée la veille pour en oublier d'enlever sa montre. Ses gros chiffres lui faisaient mal aux yeux, elle arrivait à peine à distinguer l'heure précise : six heure dix. Elle aurait volontiers voulu se rendormir mais elle était prises par l'envie de manger et de toute façon même si elle avait réussit, elle n'aurais pas pu être à l'heure au collège. Elle s'arrêta un instant, au moment de refermer la porte de sa chambre, devant la photo de sa grand-mère dans un cadre aux couleurs festives.
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