Ton exercice me tente bien.
ça va être compliqué de faire 180 mots tellement j'ai l'habitude faire ça avec 100 seulement, mais justement le but est de se challenger

Est-ce que tu pourrais préciser ce que tu entends par "être composée d'une caractéristique physique" ? Je ne suis pas sûre que je comprends bien.

Ah et aussi. 180 mots le titre compris ou sans le titre ?

Une caractéristique physique, c'est à dire un adjectif du genre "Laid, petit, maigrichon, élancé". Il faut donc essayer de faire une courte description d'un ou des deux personnages, et cette description ne doit comporter qu'une caractéristique physique pour un seul personnage, mais bien sûr, on peut ajouter une caractéristique en rapport avec le caractère du personnage, etc... Le physique ne doit comporter qu'un mot et, avec ça et le reste, essayer de nous faire imaginer le style de personnage.

180 mots sans le titre, mais le titre peut être présent

D'accord.
Merci pour les précisions

Je vais commencer dès demain je pense.

Pfiou c'était pas facile :p
J'ai beaucoup aimé l'exercice en tout cas (mais alors le mot Pied, c'était pas facile à placer "discrètement")

Voila mon texte

Spoiler:

(donc la caractéristique physique c'est "bleu" ^^)

J'adore, Aziliz ! Tout est là, et ça fait bien 180 mots. Le mot pied n'était pas au pluriel, mais on laisse passer, ce n'est que le premier exercice ^^ J'aime beaucoup le texte.

Hm, je me demandais juste s'il serait bon d'ajouter une note sur la qualité du texte, et une autre sur le respect des consignes données... ou pas?

J'aime beaucoup ton texte aussi qui nous envoie dans les étoiles
Le mot pied passe tout seul en plus ! Ce qui n'était pas facile à faire.

Je pense que ce serait pas mal de donner des notes, ça pourrait donner une idée aux personnes où elles se situent et si elles ont réussi ou non.

Aziliz >

Qualité du texte ; 4/5 pour le passage du passé simple & imparfait au présent. Peut-être est-ce voulu ? Je crois qu'il est mieux de laisser le même temps (passé dans ce cas) dans chaque texte que l'on écrit. Autrement, cela pourrait désorienter le lecteur...

Respect des consignes ; 4.5/5 pour le "pied" au pluriel

Si tu as vraiment envie de réussir entièrement le défi, tu peux poster la correction du texte. Ca ne reste encore qu'un jeu ^^

Est-ce que la description de la nature compte comme de la description physique ?

Pas vraiment, non...

Courage ^^ C'est un défi, c'est le but (:

Je ne suis pas très fan de mon texte mais je vais quand même le poster.
Ce n'était vraiment pas facile de faire 180 mots...

Je pense que je tenterais de nouveau l'expérience un peu plus tard. En attendant, voici mon premier essai à cet exercice.

Nouvelle Routine a écrit:

Maxime était laid depuis sa naissance, ce qui lui valait d'être toujours isolé. Il ne s'en plaignait pas et avait même appris à apprécier sa solitude, peuplant son espace de compagnons en bois qu'il sculptait depuis son adolescence.

Avec le temps Maxime avait appris à se débrouiller seul en ne sortant que le minimum possible. Il avait créé une petite entreprise sur Internet qui lui rapportait assez d'argent pour vivre et qui lui laissait du temps pour ses sculptures.

Il vivait seul, sans ses parents et suivant cette routine depuis deux années, lorsqu'un jour un gros morceau de bois de plusieurs kilos lui tomba sur le pied. Par chance, Laura, sa fournisseuse venait lui apporter un chargement de bois cette après-midi là. Elle dégagea son pied endolori et prit le temps de le soigner, revenant chaque jour pour lui changer ses bandages. Et elle finit par envahir son espace au fil des mois, créant une nouvelle routine dans sa vie qui rompit sa solitude et lui apporta les deux plus beaux enfants des villages alentours.

Il est un peu banal, c'est vrai, mais la première phrase nous pousse à lire la suite. De toute manière, ce n'est qu'un exercice, on ne compte donc pas sur la "valeur" de ton texte.
Les "il" sont un peu répétitifs. "Il ne s'en plaignait, Il sculptait, Il avait appris, Il avait créé, Il vivait seul". Des surnoms comme "le jeune homme" ou "Max" seraient les bienvenus ^^
Dans cette phrase "Il vivait seul, sans ses parents et suivant cette routine depuis deux années lorsqu'un jour un gros morceau de bois de plusieurs kilos lui tomba sur le pied." il faudrait ajouter quelques virgules, car on lit sans aucune pause et c'est assez essoufflant.
Quel programme utilises-tu pour compter les mots ? Sur Word, il n'y en a que 175... Donc cinq mots à incruster quelque part =P

J'ai enlevé un "il", mais je vais essayer d'y travailler un peu plus. Ce n'est pas facile parce que "Max" ne colle pas avec mon idée du personnage et "le jeune homme" ajoute trop de mots. Enfin je vais voir...

J'utilise un site sur Internet. Je n'ai pas word donc je ne peux pas me fier à son compteur... De toute façon l'exercice reste le même et aucun programme ne donnera le même nombre de mot selon qu'ils comptent les apostrophes, les accents, les tirets, etc...

Ajouter un autre "Maxime", peut-être. Mais c'est vrai que ça pourrait aussi bien le faire avec seulement ce pronom personnel si tu y retravailles, et même sans. Certains auteurs utilisent la répétition pour dévier les règles, et c'est souvent vraiment bien écrit.
Sur "Word Count Tool" ils affichent 181 mots. Mais il serait facile d'en supprimer un, si tu retires le "Et" de "Et elle finit par envahir son espace au fil des mois" qui n'est pas indispensable car tu peux aussi bien commencer la phrase par "Elle" (:

En fait il en compte 181, parce qu'il prend l'accent circonflexe de "même" comme un mot à lui tout seul. Si tu retire "même" tu verras que ça fait 179 mots Donc en fait, c'est 180, pas 181

D'accord, pas de soucis J'attends le deuxième, si tu compteras toujours le faire

Voilà le deuxième.
Il me plaît déjà un peu plus, j'espère qu'il vous plaira plus aussi

Toujours a écrit:

Elle ferma les yeux d'un geste lent et s'approcha du corps de l'homme qu'elle aimait, le reconnaissant à grand peine. Autrefois athlétique, on ne devinait presque plus ses muscles à présent.
Il n'était plus que l'ombre de lui-même depuis des mois. Elle connaissait la cause du problème mais cela ne l'aidait pas à le résoudre. Elle voulait le sauver, le ramener sur la terre ferme là où il avait pied. Mais elle n'y arrivait pas. Au contraire elle se sentait de plus en plus noyée dans sa détresse, dans leur détresse. Mais elle ne voulait pas renoncer pour autant. Toutes ses amies lui disaient de quitter le navire et de recommencer à vivre mais cela lui était impossible. Elle l'aimait.
Elle l'aimait plus que tout au monde et lui avait promis d'être là pour lui. Toujours. Alors elle continuait son combat contre l'ennemi invisible. Elle n'avait pas le choix, elle devait le sauver ou couler avec lui. Et de toute manière, elle serait perdue si elle le laissait batailler seul contre ses cauchemars.

Ouf, j'avais complètement oublié Excuse-moi, allis !

Qualité : 4/5 - Beaucoup de ponctuation et parfois répétition (les "mais" souvent présents entre autres et le "Elle l'aimait. Elle l'aimait plus que tout")

Respect des consignes : 5/5

En effet, il me plaît ! C'est romantique et touchant, et bien décrit. Même si la description des sentiments n'y est pas toujours présente, à travers toutes tes phrases on ressent la détresse de la femme tout au long du texte.

J'espère qu'on peut toujours participer (sinon, pas grave, ça m'aura au moins fait écrire et réfléchir ^^). Voilà mon texte (c'est pas très gai, désolée )


Un vautour venait de se poser sur le cadavre du dromadaire. Karim ramassa le plus gros caillou qu’il put trouver et s’apprêta à le lancer sur l’oiseau. Une main se posa avec douceur sur son cou et Siham lui murmura quelques mots à l’oreille. Il laissa échapper la pierre qui heurta le sol dans un bruit sec. Trop captivé par son futur festin, le charognard sursauta à peine.
Le garçon détourna le regard pour ne pas voir le triste spectacle qui allait se dérouler au fond de l’oued asséché. Ses yeux rencontrèrent ceux de sa sœur, plus sombres que jamais. Il y lut une détermination où il puisa sa force. Elle lui prit la main pour l’entraîner loin de ce lieu de désespoir.
Lentement, ils reprirent leur route, à présent obligés de cheminer à pied dans ce désert impitoyable. Ils n’avaient plus d’eau et le prochain puits était à plusieurs heures de marche. Il leur fallait à tout prix profiter des dernières heures du matin, avant que la chaleur écrasante ne les oblige à trouver un abri… ou à périr.